Étudiants en formation d’ostéopathie, ostéopathes installés en cabinet, autres professionnels de santé…
Vous aussi, ça vous agace, tous ces préjugés sur le métier d’ostéopathe ? Allez, on déboulonne tout ça ensemble, brique par brique !
Idée reçue n°1 : Les ostéopathes sont des rebouteux new age
Celle-là, elle pique.
Non, un ostéopathe n’est pas un druide qui vous tapote le front avec une plume de paon sous Mercure rétrograde. ❌
C’est un professionnel de santé formé pendant 5 ans (oui, CINQ) à la biomécanique, à l’anatomie, à la physiopatho, etc.
Alors, prière de laisser les caricatures au vestiaire !
Idée reçue n°2 : Un ostéo, ça fait juste craquer le dos
Oui, il y a des craquements. Oui, certains patients adorent ça (un peu comme un bon paquet de chips).
Mais non, le métier d’ostéopathe ne se résume pas à faire craquer toute la journée. 😶
L’ostéopathie, c’est aussi de la pédiatrie, de la viscérale, du crânien, de la posturologie, du sport… C’est une boîte à outils immense. Parfois, vous toucherez très peu le patient (mais vous ferez bouger plein de choses).
Le jour où vous ferez votre première manipulation cervicale devant vos amis, vous vous sentirez surpuissant·e. Puis, vous apprendrez à aimer les manipulations discrètes, subtiles, presque invisibles. 😉
Le Ceeso Paris mise justement sur cet équilibre : technique, écoute, précision. On vous apprend à doser, à ressentir, à vous adapter à chaque patient. 🥼
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Idée reçue n°3 : Ostéopathe ? C’est pour ceux qui n’ont pas eu la PACES.
Comme si la formation d’ostéopathie était un lot de consolation. Sauf que non !
Le cursus est exigeant. Vous aurez des partiels, des stages en ostéopathie clinique à effectuer, des cours qui vous retournent le cerveau… Ce n’est pas une “fac bis”. C’est une voie à part entière, avec sa propre richesse.
Idée reçue n°4 : Ostéo, c’est comme kiné, non ?
Cette phrase est à l’ostéopathe ce que “Tu fais des dessins ?” est à l’architecte.
Oui, ostéo et kiné s’occupent tous les deux du corps humain, des douleurs, de la mobilité. Mais les approches sont très différentes :
- Le kiné intervient généralement après une prescription médicale, souvent suite à un traumatisme, pour rééduquer une zone précise.
- L’ostéopathe recherche la cause en amont.
Il prend en compte le corps dans sa globalité. Il n’y a pas d’ordonnance : vous allez le voir de votre plein gré. Il travaille avec ses mains, parfois en douceur, parfois avec des techniques plus impressionnantes.
Idée reçue n°5 : Il faut faire médecine pour devenir ostéopathe
On vous imagine déjà en blouse blanche à la fac de médecine, galérant sur les partiels de neuro-anatomie à 700. Et pourtant : vous pouvez devenir ostéopathe sans passer par la case Fac de médecine.
Aujourd’hui, la formation d’ostéopathe en France se fait dans des écoles spécialisées, comme le Ceeso Paris (c’est nous ! 👋), reconnues par l’État, avec un diplôme RNCP niveau 7 à la clé (l’équivalent d’un Bac+5).
👉 Et franchement, ces écoles n’ont rien à envier aux facs :
- Vous faites de l’anatomie, de la physio, de la bioméca.
- Vous passez des heures en pratique.
- Vous êtes formés à la relation patient, à l’écoute, à l’empathie…
Conclusion : médecine ? Non.
Études sérieuses ? Oh que oui.
Notre école d’ostéopathie est une école pionnière en France. Sérieuse, exigeante, avec un véritable esprit de promo.
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Idée reçue n°6 : C’est un métier cool, peinard, sans stress…
Vous êtes là, assis dans un cabinet zen, musique douce en fond, un petit diffuseur d’huiles essentielles… Et hop, la journée est pliée.
Hum… 🤔
En réalité ? Ostéopathe est un métier passionnant mais exigeant.
La réalité, c’est que le métier d’ostéopathe est aussi physique que mental. C’est un job de contact, d’intensité, de finesse. Pas une retraite bien-être.
- Physiquement ? C’est du sport…
Vous passez vos journées debout, parfois penché, dans des positions parfois difficiles à tenir… Un patient de 4 ans, ça gigote. Un patient de 94 ans, ça demande beaucoup de douceur. Et parfois, il faut carrément porter, tourner, repositionner…
Fun fact : vous découvrirez des muscles que vous ne soupçonniez même pas pendant vos premiers stages. 😅
Ajoutez à ça 6 à 8 consultations par jour (ou plus), et vous aurez tout intérêt à prendre soin de votre propre posture.
- Mentalement ? C’est un Tetris cérébral…
Chaque patient arrive avec son histoire, ses douleurs, ses blocages, ses peurs.
Et vous, vous êtes le détective privé du corps humain, à chercher le lien entre un mal de dos et une ancienne entorse oubliée ou un stress chronique.
Pas de protocole pré-mâché : vous devez réfléchir, observer, écouter, tester.
👉 Et ce n’est pas qu’une question d’anatomie.
C’est aussi :
- de la pédagogie (expliquer sans inquiéter),
- de la psychologie (gérer les angoisses, les émotions),
- et beaucoup d’empathie.
- Émotionnellement ? C’est pas toujours feel-good…
Certains patients vous confient leur douleur physique… Mais aussi émotionnelle.
- Un deuil,
- une grossesse difficile,
- un burn-out,
- un traumatisme…
Vous serez parfois leur premier “sas de décompression”.
Il faut donc savoir être présent sans trop absorber, savoir écouter mais sans s’oublier.
- Et en libéral ?
- Il faut gérer les rendez-vous, les annulations, les relances.
- Faire ses comptes, déclarer ses revenus…
- Se faire connaître, développer sa patientèle…
- Gérer les creux d’activité sans paniquer.
Bref, devenir ostéopathe en libéral, c’est aussi devenir auto-entrepreneur, ça demande un peu de tripes (et une to-do list bien huilée).
Vous hésitez encore ? Voici 3 raisons de choisir le CEESO Paris :
✅ Une formation béton
5 ans de cours, de pratique, de stages cliniques… et zéro place pour l’impro. Vous sortez avec un vrai bagage, prêt·e à exercer.
👂 Une école à taille humaine
Pas une usine. Ici, les promos se connaissent, s’entraident, grandissent ensemble. L’esprit d’équipe, ce n’est pas du blabla.
🏅 Une réputation méritée
Le CEESO Paris est une école reconnue et appréciée des patients. Et ça, sur un CV, ça pèse.
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